Une lueur d'espoir !

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Une lueur d'espoir !

Bien avant que les Terriens ne prennent possession de Verfandel, cette dernière avait vécu bien des événements. Et c'est sans surprises que l'on trouve facilement des restes d'anciennes vies, que ça soit sous forme de ruines ou tout simplement de fossiles. Ainsi, on peut trouver, en ayant beaucoup de chance, des objets, des artefacts qui peuvent peut-être trouver une utilisation encore de nos jours. On ne sait pas trop ce qu'ils font ou comment les utiliser, mais ce qu'on sait c'est qu'ils sont pleins de secrets n'attendant que d'être découverts.

Survivants :

Votre vie paisible dans le centre ville de Sélamat a prit fin. Suite à un enchaînement de cause à effet vous vous retrouvez l'arme au poing à marcher aux côtés d'un convoi spécial ramenant un ancien artefact censé redonner à la race humaine toute la puissance dont elle disposait avant la guerre. Votre garnison est composée de 6 hommes armés, de 2 scientifiques et du fourgon blindé contenant l'Artefact. Votre mission est de l'escorter dans l'enceinte de Sélamat coûte que coûte... Mais ce qui était à la base une mission qui aurait dû se finir sans encombre se transforme rapidement en véritable champ de bataille. Le convoi est attaqué, un de vos compagnons est mort, et bien sûr grâce à vos compétence vous avez pu vous mettre à l'abri de l'attaque. Face à vous se dresse une poignée d'Infectés prêt à tout pour récupérer l'Artefact.

Infectés :

Les Inféctés ne mènent vraiment une vie facile, entre les différentes mutations et leurs pouvoirs qui se manifestent de plus en plus chaque jours, c'est difficile de vivre une vie normale. Et si on ajoutes à tout ça la pauvreté des gens, on voit vite pourquoi dès que l'opportunité se présente pour tenter de se délivrer de leurs malédiction, ils sautent à pieds joins sur l'occasion. Depuis peu un rumeur c'est propagé comme quoi les Survivants avaient trouvé une ancienne relique qui aurait le pouvoir de redonner la forme première à toute chose...
Que vous soyez en quête d'un moyen de redonner aux gens leurs apparences normales ou pour une toute autre raison, vous rejoignez un groupe d'assaut afin de récupérer cet artefact des mains des Survivants...

Informations supplémentaires :

Les rayonnements de l'artefact offrent un bonus de +1 à la maîtrise des pouvoirs des participants au Rp.

De plus voici l'ordre dans lequel chacun de vous devra poster :

Adveiw Thealath
Thirz Kei
Leonard Copper
Tarken Valemius

Je répondrais pour ma part après chaque post de Tarken, et je me réserve bien entendu le droit d'intervenir entre chaque post.

Bonne chance et bon rp !

Depuis deux jours, on entendait plus que ça dans le rues : les survivants auraient trouvés une relique. Certains disaient qu'elle était maléfique, d'autres la disaient divine. D'après cette seconde catégorie de personnes, elle aurait le pouvoir de guérir les infestés, de leur ôter toutes mutations et autres manifestations inhumaines. Adweiv ne pouvait pas passer à côté d'un tel objet, si ce qu'on racontait dessus était vrai. Il DEVAIT vérifier. Pour lui, ne plus être infecté signifiait avant tout ne plus avoir ses migraines. Par moments, ces maux étaient si intenses qu'il avait envie de percer son crâne, de libérer toute cette pression, cette douleur insoutenable. C'est alors que, tout naturellement, lorsqu'il entendit parler d'un groupe d'infectés qui s'apprêtaient à embusquer les survivants transportant le fameux artefact, il chercha à les rejoindre.
C'est très déçu qu'il découvrit ce groupe : il s'agissait uniquement d'une poignée d'hommes et de femmes, qui ne payaient pas vraiment de mine... Adweiv se doutait qu'ils n'étaient pas de taille à affronter ces fameux survivants. Il n'en avait à vrai dire jamais rencontrés, mais la puissance qu'on leur attribuait dépassait largement celle des infectés. En cas de défaite écrasante, il arriverai sans doute à s'enfuir, mais il devait y aller, il devait savoir. Aussi, c'est dès le lendemain de sa rencontre avec cette petite troupe qu'ils se mirent en route pour la Faille. Un des hommes de l'expédition avait dit que le convoi passerait par là, et, paraît-il qu'il s'agissait d'une source sûre. Adweiv avait toujours une gros doute sur l'efficacité de cette expédition, mais rassembler plus d'individus pour une telle mission était quasi impossible compte tenu de l'anarchie qui organisait les villes infectées.
C'est ainsi que quelques heures après, Adweiv découvrit la Faille. C'était un lieu impressionnant. Une fracture de plusieurs mètres de largeur s'étalait jusqu'à l'horizon, une faille dont il ne voyait pas la fin. Quant à la profondeur, il avait laissé tomber un caillou dans ce gouffre immense afin d'entendre quand la pierre s'abattrait au fond du précipice. Or il n'en entendit rien. Il s'agissait d'un endroit à dimensions irréelles. Cette gigantesque plaine rocailleuse, parsemée de pics, de rochers et de failles offrait une situation idéale pour tendre une embuscade. Une armée entière pouvait se dissimuler ici. La situation semblait un peu moins désespérée pour Adweiv.
Soudain, on entendit au loin des bruits de pas ainsi qu'un bruit constant, un frottement. Tous les infectés eurent le réflex de se cacher derrière l'objet le plus proche. Personne n'osa jeter un coup d’œil par crainte de se faire voir : La visibilité était parfaite ce joue là, c'était un des rare jour de l'année où le brouillard n'était pas présent dans cette région. Chacun restait donc plaqué, alors que le son se rapprochait. De plus en plus. Adweiv saisit son pic à mains fermes, quand il vit une pousse de ronce sortir d'une faille présente à ses pieds. La pression sans doute.

*Contrôle toi Adweiv, contrôle toi... C'est pas le moment de tout faire foirer...*

Le rocher contre lequel Adweiv était appuyé, si faiblement pourtant, bascula alors d'un coup sec. Alors à découvert, il eu le réflex de se mettre immédiatement dans une crevasse. Il jeta un bref coup d’œil à ses camarades, qui lui indiquèrent ne pas avoir été vu. Le roulement de rocher avait pourtant nettement été entendu.

*Qu'est-ce qui m'arrive ? Ce rocher était pourtant immense. Peut-être qu'il était simplement prêt à basculer... Et cette végétation qui pousse à mes pieds... Pourquoi je n'arrive pas à l'arrêter ?*

Qu'adviendra-t-il d'Adweiv et de ses compagnons ? Sont-ils déjà repérés ? Arriveront-ils à utiliser correctement leur pouvoirs, décuplés en présence de la relique ?

[HRP]Et voilà, un univers propice à mon pouvoir, mais pour ne pas trop en profiter, disons que j'ai du mal à maîtriser tout ça Wink

Surtout ne me félicitez pas pour le suspens apporter par les dernières phrases, c'est tout naturel comme talent chez moi. Razz

[/HRP]

Invité

Qu'elle était cet objet ? Un objet capable de faire redevenir normal les inféctés ... Une relique divine .

Il était tard quand Kei appris la nouvelle concernant une relique capable de modifier les infectés pour les faire redevenir normaux, il ne savait pas quoi en penser. En premier lieu il aurait été ravis de l'utiliser pour redevenir normal, mais à quoi bon ? S'il était devenu ainsi c'était pour une raison et dans tous les cas la guerre continuerai toujours. La relique pourrai être utilisé par les survivant pour contraindre les infectés à se rendre ce qu'il ne pouvait laisser faire. Il apprit quelque heure après durant la nuit que la relique étaitactuellement transférée et qu'une embuscade était en prévision dans l'endroit qu'on appelait la Faille. Ce gigantesque Desert de roche avec plein de puits sans fond.. Un endroit idéal pour une embuscade, même s'il était dangereux d'y aller.

Il se mit en marche l'arc dans le dos et ses deux épées reposants dans leurs fourreaux respectifs. Le groupe d'infecté était peu nombre et peu d'entre eux serait vraiment capable de tenir tête à la puissance des survivants qui eux étaient spécialisés dans la guerre. C'était quasi du suicide de s'attaquer au convoie d'une relique, mais il se devait d'y participer, s'il pouvait récupérer la relique pour la preserver d'usage malfaisant, ca irai mieux pour tout le monde.

Le chemin était long, la tension palpable... Qu'allait-il se passer ? Arriverai-t'il à récupérer la relique et à s'en sortir indemne ? Personnes n'en était vraiment certains, mais tout le monde se devait d'y participer. Même si toutes les chances étaient du côté adverse, ils devaient donner tout ce qu'ils avaient pour le bien des autres. Ils continuèrent de marché, longtemps. Le temps était pas forcément en faveur des infecté pour l'embuscade car aucun brouillard n'était prévu durant toute la journée. Et pourtant ils étaient là, tous caché derrière des rochers avec une vue sur le transport de la relique, tout le monde se tenait immobile sauf un qui venait de faire tombé un énorme rocher... Vas savoir comment il s'y était pris, mais il avait failli tout faire foiré. Kei observait attentivement le détachement qui transportait la relique, il y avait la plusieurs dizaines de survivants et beaucoup d'entre eux voir tous était équipé pour un combat. Ils savaient que les infectés allaient venir.

« On a aucune chance... »

Il décocha son arc et tendit la corde comme à son habitude, il était prêt à tiré, au signal il ferait feu.

[Hrp : Pas fameux comme test mais vraiment pas d'inspi sorry x) ]

Le bar était vide, normal, il était quand même 5 heure du matin. Léonard était là, assis au comptoir, seul, une pile de verre de whisky à ses côtés et là bouteille entre les mains. Le jukebox passait une vieille musique entrainante, à volume doux, juste assez fort pour briser le silence qui régnait dans la grande pièce. Le barman lui avait filé les clefs car ce-dernier trouvait que Léonard était un peu trop attaché à sa chaise et que c'était assez délicat de le dégager du bar sans créer un véritable combat de rue. Mais à force d'argumentations acharnées Léonard avait réussi à avoir la confiance du barman et pouvait rester pour boire autant qu'il le souhaitait. L'heure tournait, certes doucement, mais elle tournait tout de même et il était déjà 5h42. C'est fou la manière dont le temps nous file entre les doigts, si seulement on pouvait l'attraper et le contrôler, bien des choses seraient différentes. Mais je m'égare, Léonard se leva finalement de son siège sur lequel il avait campé depuis la matinée. Il tapa un coup sur le jukebox qui laissa échapper un petit "Bziioouuu..." avant de s'étendre complètement. Il passa la porte d'entrée en éteignant la lumière, laissant la salle de la nuit la plus totale avant de la fermer à triple tour.

Sélamat était une ville vivante, et ce, même en pleine nuit et le bar qu'affectionnait Léonard était vraiment bien placé pour admirer la vue. En effet, ce dernier était placé en hauteur par rapport au centre-ville ce qui laissait apparaitre les multitudes de lumières qui, vues de loin, ressemblaient à un véritable ciel étoilé. Il resta là quelques minutes, à révâsser sur l'avenir qu'il connaitra... Ou non. Il se rappela finalement qu'il avait déjà 42 ans et que la vie ne lui réserverait plus trop de choses agréables. Sur ces pensées, il décida de rentrer chez lui. Il marchait en direction de la maison du barman, en faisant tourner le trousseau autour de son index et en sifflotant. Il déposa les clefs dans la boite au lettre et se dirigea vers chez lui...

La nuit n'avait pas était bonne, et c'est peu dire. Lorsque Léonard se réveilla, il se retrouva dans un vieux sac de couchage à l'intérieur d'une tente. Il avait un mal de tête pas possible et la lumière du soleil qui filtrait à travers la toile de la tente lui brûlait les yeux. Il passa la main sur son visage et murmura :

- Bordel... Les 13 whisky sont pas très bien passés...

Il se leva, enfila des vêtements, rangea son revolver et son couteau dans les endroits prévus à cet effet et s'équipa de son gantelet. Il souleva la toile d'un revers de la main et sortit prendre l'air, bien que le soleil irradiait la zone d'une lumière éclatante, elle restait terne et étrangement sombre, comme si on avait aspiré toutes ses couleurs. Mais l'endroit en lui même était dérangeant, des pics de pierre sortaient du sol, des trous béants attendaient tranquillement qu'une âme étourdie s'engouffre dans leurs entrailles et on pouvait sentir l'odeur forte des monstres qui rodaient dans les parages. Léonard s'approcha des hommes qui étaient avec lui et déterminé à savoir pourquoi il se trouvait ici, il demanda :

- Hey ! Qu'est-ce qu'on fout là au juste ?

Les autres hommes le regardèrent, parmi eux se trouvaient 5 hommes armés de fusils mitrailleurs et deux scientifiques qui jouaient avec leurs calculettes. L'un des soldats, qui astiquait son pistolet, lui répondit qu'ils étaient là pour protéger le gros fourgon qui contenait un objet capital pour la survie des hommes. Bien que la réponse ne satisfit pas Léonard, ce dernier ne préfèra pas continuer la discussion voyant très bien que son groupe n'était pas basé sur la franche camaraderie. C'était sans aucun doute un simple job pour eux, mais Léonard savait, ou du moins, il avait un pressentiment que cette mission allait mal tourner. Mais passons, il rassembla ses affaires, et tenta de se rappeler le comment du pourquoi il était arrivé ici. Il fouilla dans ses poches et trouva plusieurs papier et factures ce qui le mit sur la voie. Il déduisit facilement que l'alcool qu'il avait ingéré hier jouait une place importante dans l'affaire.

Il abandonna ses recherches, il savait bien de toute façon que quand il est trop bourré, il fait n'importe quoi et il se décida à se concentrer pleinement sur sa mission actuelle. Pour une fois qu'il sortait de Sélamat, il fallait en profiter. Il marchait en tête de file, ses armes étaient rangées et il n'avait que son gantelet pour se défendre d'une éventuelle attaque. Le paysage alentour était magnifique, bien que toujours aussi gris. La poussière du sol se soulevait à chacun de ses pas avant d'être emportée par la légère brise qui soufflait. Tout était parfait, mais Léonard, qui était un adepte de la loi de Murphy, savait qu'à un moment donné, tout allait mal tourner et c'est précisément à cet instant précis que le convoi fut attaqué.

Les scientifiques se précipitèrent pour se mettre à l'abri à l'intérieur du fourgon alors que les soldats se plaçaient en position de tir. Un homme fut abattu ce qui donna le coup d'envoi de la bataille, tous les soldats commencèrent à tirer un flot continu de balles sur leurs adversaires qui s'étaient mis à couvert derrière les pics de pierres, gaspillant ainsi la plupart de leurs munitions. Léonard se plaça en arrière, se protégeant avec son gant en envoyant des impulsions pour esquiver les attaques ennemies. Il ordonna de se replier et de se mettre à l'abri derrière le fourgon le temps d'élaborer une stratégie d'attaque. Aucun des soldats l'écoutèrent, tous entêtés à vouloir tuer du monstre. Sauf qu'ils n'avaient pas fait suffisamenet attention pour remarquer que leurs adversaires n'étaient pas des monstres mais des Infectés...

Caché derrière une roue, Léonard posa la main sur son revolver, inspira un grand coup, se releva, visa et tira. La balla alla s'écraser contre la paroi d'un des pics rocheux derrière lequel un de ses opposants s'était planqué. Il tira une seconde balle qui ne rencontra malheureusement personne, la pauvre, et il s'accroupit à nouveau, essayant de penser à une stratégie pendant que ses cons de collègues continuaient de tirer sans s'arrêter et sans se mettre à l'abri d'une contre-attaque des Infectés...

Le combat était lancé, et il ne pouvait plus être arrêté. Léonard s'était fourré dans une belle merde, mais il allait s'en sortir, c'était obligé, il trouverait bien un moyen de s'échapper de là. Mais pour l'instant il doit attendre, attendre de voir ce que les Infectés sont capables de faire.

Tyra, une belle ville remplie d'ordures, la seule connaissance de Tarken ici était le Tavernier, avec qui il avait déjà conclu plusieures affaires lucratives, Lors d'une soirée bien arrosée, le patron de la taverne proposa de gagner un prix a l'un de ses jeux favoris, Tarken s'y inscris, il s'agissait d'un espèce de poker avec de nouvelles règles, Tarken arriva rapidement a comprendre les règles et remporter les premières phases de jeu, la plus part de ces adversaires étaient bourrés et il n'avait pas de mal a les vaincre. Lors de la finale, il gagna avec plus de difficultés, c'est lorsqu'il alla chercher son prix que sa surprise fut plus grande. Le Tavernier lui offra une des dernières grenades fumigènes de l'ancien temps, qui fonctionnait encore et qui pouvait lâcher beaucoup de fumée pour permettre d'échapper a certaines situation, ou alors pour prendre ses adversaires par surprise. Pour fêter sa victoire, il décida de payer une tournée générale grâce à l'argent empoché il y a quelque jour. L'abus d'alcool était malheureusement des répercution sur la bonne tenu du lieu et en une demi heure a peine, certains étaient couchés, d'autres racontaient n'importe quoi , ou encore certains se battaient et cassaient le mobilier de la Taverne.

Tarken décida donc de s'éclipser pour éviter de s'en prendre une, il faisait nuit , plus beaucoup de monde dans les rues, lorsqu'il vit un message suspect sur le panneau d'affichage de Tyra. Ce message annonçait une possession des Survivants, une relique permettant de redonner la forme première a un être, Tarken pensait à ceux qu'ils avaient déjà croisés, entre ceux de neuf jambes, ce avec des bouches surdimensionnées ou encore des cheveux en métal, il décida de participer a l'expédition que certains avaient organiser, non pas pour utiliser lui même le précieux artéfact, mais de le vendre a très bon prix a un être malmené par son nouveau physique.

Tarken fit un saut chez lui, une brave demeure chaleureuse , il vivait seul , il se prépara en quelques temps, nettoya son fuseur et son épée, pris la grenade gagnée précédemment, un peu d'argent, a boire et à manger. et se rendit au lieu de rendez vous.

*Allez, allons chercher ce foutu trésor*

Il arriva et vit plusieurs personnes, certains étaient vraiment amochés, ils étaient un petit groupe, une demi-douzaine a peine, Tarken alla demander quel était le plan, les Survivants devaient passer a proximité dans quelques minutes. En buvant un peu de bière dans sa gourde, Tarken remarqua que Kei, une de ses connaissance était présent, ils avaient eut quelques brulantes mésaventures avec une Salamandre.

La discussion n'avait guère eu le temps de s'engager lorsque le convoi approchait, il y avait pas mal de survivant, l'un d'eux plûtot agé semblait très fort et très puissant, il était armé d'un revolver. Il tira deux balles, l'une derrière le rocher ou se trouvait l'un des Infectés de l'assaut, l'autre manquée attérie dans la bouillasse près de Tarken. Peu après, le tintamarre des tirs se fesaient sentir, L'arc de Kei tira plusieurs flèches qui avec l'air de Tarken, endommagea et brula la zone des Survivants. Tarken sortit de son sac la grenade fumigène et la lança , coup de bol elle atterie en plein dans la zone du fourgon empechant les Survivant d'attaquer, on entendis ensuite un hurlement du bandit :

"CHARGEZ !"

Tarken et ses congénères rentrèrent dans la fumée, il ne savait pas si tous l'avait suivi, il essaya de trouver la relique en se rapprochant du fourgon pour le fouiller, les infectés utilisèrent leurs pouvoir pour essayer de tuer les survivants, Tarken refusait de les tuer pour la simple et bonne raison que le but des infectés était de redevenir survivant, aucun intêret a tuer ce que l'on voulait devenir, il croisa dans la fumée le regard de l'homme au revolver, juste avant de se prendre un tir dans la jambe gauche, ce qui le fit tomber à terre, la fumée était trop concentrée et Tarken commenca a s'étouffer. Heureusement pour lui que sa maitrise de l'air dégagea une quantité de fumée pour l'empecher de s'évanouir, les bruits de combats était de plus en plus intense, le fourgon se réaparaissait lentement, et Tarken voyait les visages de ses camarades réapparaitre sans pouvoir connaitre leurs intention durant ce combat, qu'allaient donc faire les infectés et les survivants ?

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Le combat faisait à présent rage, les Infectés usant de leurs pouvoirs face aux Surivants qui tentaient de résister tant bien que mal à cet assaut dévastateur. Le bruit de cette bataille fendait les kilomètres et un homme situé à plusieurs lieux d'ici aurait pu entendre facilement le bruit du combat... Mais pendant que je parle, Adweiv soulevait des rochers de la taille d'un homme avant de les envoyer d'un bref geste de la main sur ses opposants qui furent alors obligé de se mettre à couvert derrière le fourgon. Ce dernier ne résista d'ailleurs pas longtemps à un jet répété de pierres qui entama fortement sa cuirasse renforcée, laissant l'artefact visible et à porter de main des Infectés. Il était de forme sphérique et surement fait de métal et, pendant qu'il lévitait à un mètre du sol, on pouvait voir s'échapper de petits éclairs bleus et des cercles d'énergie de la même couleur. L'effet de cette énergie pure se faisait ressentir de plus en plus et cela se répercutait sur la puissance des combattants.

Une grenade fumigène fut jetée dans la bataille par Tarken, offrant une ouverture d'attaque pour les Infectés qui s'élancèrent tête baissée à l'intérieur sans aucune peur. Tarken se fit tirer dans la jambe par un des soldats survivants avant de s'effondrer à terre. Secoué par la souffrance, il ne pouvait plus bouger.

Rhutz était face à deux soldats qui le menaçaient de leurs armes pointées sur lui, prêts à tirer. Mais avant d'appuyer sur la gachette pour finir l'homme aux cheveux d'aciers, ils lui demandèrent : "Alors, dis nous, qu'est-ce que ça fait de voir une race supérieure ? Te sens-tu faible ?"

Léonard, quant à lui, était toujours contre la paroi blindé du fourgon quand Tarken s'effondra devant lui, incapacité par la balle reçue plus tôt, il ne représentait plus aucun danger pour lui. La fumée commençait à se dissiper à côté de Léonard, donnant à ce-dernier un échappatoire.

Que faites-vous ?

Invité

"Alors, dis nous, qu'est-ce que ça fait de voir une race supérieure ? Te sens-tu faible ?"

Ils n'auraient jamais dû lui dire ça, la haine que Kei éprouvait pour les survivants pris une ampleur considérable. Il devait déchainer sa fureur sur ses deux malheureux qui avait eu le culot de le rabaisser... Il était en face des hommes, leurs armes braquer sur lui, ses yeux viraient au rouge tellement il était énerver. Il voulait sentir se liquide si précieux couler de leur ventre, il allait les détruire et pas qu'un peu. Il allait prendre son plaisir à les tuer tel un chasseur s'amusant avec sa proie, ça serait la dernière bavure que feront ces deux hommes. Le vent faisait onduler sa chemise dans ce désert de roche, il posa sa main sur ses deux fourreaux et fit danser son doigt sur le manche de chacune des épées.

- N'hésitez pas messieurs, tirer sur un monstre engendré par la connerie humaine... Mais sachez une chose... Je ne suis pas gentil, mais je prie pour vous. Je prie que vous me tuez en un seul coup sinon la dernière chose que vous sentirez sera votre sang qui coule lentement de votre corps.

Les hommes ne savaient pas quoi répondre à ces paroles insolentes, Kei attendait patiemment que l'un de ces hommes agisse en premier. Il attendait toujours avec les mains posés sur les manches de ses lames blanches. Il savait que leur première attaque serait esquiver facilement grâce au pouvoir qu'il sentait affluer dans son corps. Il n'avait jamais sentit cela auparavant. D'un simple geste il dégaina ses deux lames, une note cristalline résonna dans la plaine. Il faisait danser ses épées devant lui, chaque mouvement de ses épées faisait accroitre la haine qu'il éprouvait à l’égard de ces deux hommes. Le premier pas était franchi, les deux hommes tirèrent, pour Kei qui avait un pouvoir accrus en présence de l'artefact, les balles arrivèrent à un vitesse dérisoire. ... Les balles arrivèrent à quelque centimètre de lui avant d'être découpé d'un simple mouvement de ces deux épées. Chaque extrémité des balles qui avaient été coupés tombèrent sur le sol dans un bruit sourd, les hommes ne bougeaient plus. Que pouvait-il faire contre sa ?

- La démonstration est fini, vous allez maintenant me servir de jouet et je vais bien m'amuser en vous torturant.

Les hommes n'étaient pas à leur première menace, la danse des lames de Kei ne leur avait même pas fait peur. Ils étaient impassibles à cette démonstration. Il le toisèrent de haut en bas, quand il avait parlé les deux hommes étaient restés choqué parce qu'ils avaient entrevu... Des dents aussi pointu que la pointe d'une épée, ça se voyait sur leurs visages, ils en étaient bouche bées. L'un des deux pris alors la parole.

" Tu n'es qu'un chien, un monstre dégénéré qui ne mérite même pas de vivre. Nous allons exterminer tous ces bâtards de ta race pour les envoyer en enfer, là où est leurs places ! "

La goutte d'eau qui fit débordé le vase...

Les hommes passèrent à l'action, chacun d'un côté, ils marchaient en faisant un cercle autour de Kei. Kei ne pouvait éviter une attaque venant de devant lui, mais aussi de derrière lui. Il utilisa un de ses nombreux atout et un rayon de lumière transperça les yeux du premier homme qui se recroquevilla sur lui-même en criant de douleur... Un son agréable qui faisait monter la tension de Kei, il adorait ça. Il allait enfin pouvoir commencé sa vengeance sur les hommes qui l'avaient tant fait souffrir et qu'il le traitait tel un monstre. Le son retentit dans son esprit, la danse des morts était commencée. Il ne s'occupait plus de l'homme derrière lui qui criait de douleur, c'était à son adversaire de devant maintenant de mourir. Il avança lentement, décrivit une arabesque avec ses deux lames quand la balle arriva vers lui, elle fut coupée net comme les premières.

- Regarde la danse de la mort qui fond sur toi sans rien pouvoir faire comme une victime de la peste...

Il avançait toujours à pas réguliers, l'homme continuait de tiré, mais il ne s'en préoccupait pas comme dans son combat contre la salamandre, il vivait le combat à 100 %, il menait la danse. L'homme reculait sans cesse, toujours en tirant sans aucun effet puisque aucunes balles n'arrivaient à atteindre sa cible. C'est alors qu'il trébucha, il comprit que sa dernière heure était arrivée. Il suppliait Kei de le laisser vivre... Quand Kei fut à quelque centimètre de lui, il commença le dernier chapitre de sa danse lugubre... La lame s'abattit ... sur du métal ! L'homme venait de placer son poing en avant, son poing qui était recouvert par une tige de métal et qui venait de bloquer la première lame de Kei, il reprit alors son arme avec sa deuxième main et tira dans la jambe de Kei qui tomba à la renverse par le choc.

" Maintenant, c'est moi qui vais me régaler de tes cris de supplices ! Supplie moi d'en finir rapidement ! Ou meurs comme la sale bête que tu es ! "

Il tira une seconde fois, toujours dans la même jambe. Kei n'avait pas eu le temps d'esquiver la balle qui rentra profondément dans sa jambe à quelques centimètres de la deuxième. L'homme en face de lui rigolait en savourant sa victoire, il pensait que c'était gagné et Kei ne pouvait plus bouger. Kei se releva tant bien que mal, il trébucha au premier pas et tomba à genoux. L'homme qui avant ça c'était fais brulé la rétine des yeux venait de se relever et n'avait quasiment plus aucune douleur.

" On va pouvoir l'achever comme un porc ! "

Ils attrapèrent chacun un poignards rangé dans un petit fourreaux caché sur le côté de la jambe. Ils avancèrent de Kei qui lui ne pouvait plus bouger... Son heure était arrivée, il ne pouvait plus rien faire. Quand les deux hommes furent à sa portée, Kei fit un arc de cercle avec sa première lame sans bouger le reste du corps, la lame fendit l'air et coupa la main de l'homme derrière lui. Il retomba à terre, son poignards tomba juste à côté de l'autre main de Kei. L'autre homme s'élança pour le poignarder, mais Kei leva son épée bien haut et la planta juste devant lui, sur le pied droit de l'homme qui allait presque basculer, mais il se rattrapa avant de déchirer complètement le muscle du pied. Contrairement à son coéquipiers, lui ne cria pas. Il essaya d'enlever la lame, mais la douleur était terrible. Il sentait son corps se vider de son sang lentement, il perdait des forces. Kei attrapa alors le poignard et l'envoya directement dans la tête de son adversaire qui tomba à la renverse ... L'excitation de Kei redescendit et il sentit alors la vraie douleur de ses blessures... Allait-il mourir comme ça ?

Le froid du métal glissait le long du dos de Léonard, un frisson qui fut renforcé par la tournure que prenait les événements. Cette sensation que l'on perd le contrôle, que tout bascule d'une seconde à l'autre et que le seul truc que l'on peut faire c'est essayer de s'en sortir... Il adorait ça et c'était d'ailleurs pour cette raison qu'il avait participé à la guerre. Il se calma un peu en respirant par grand coup, son revolver dans sa main, il attendait qu'une erreur était faite chez les Infectés. Il sentait le fourgon bouger, trembler, il sentait la cuirasse se briser sous leurs attaques. Nul doute qu'il devrait trouver un nouvel abri d'ici peu, sous peine d'exploser avec le fourgon.

Le bruit des balles fusait et s'entre-mêlait avec le bruit, souvent étrange, des pouvoirs qu'utilisaient ses opposants. Si on ajoute à tout cela les effets lumineux, on aurait pu se croire en plein film d'action. Mais c'était belle et bien la réalité et Léonard devait à présent trouver un moyen de s'en sortir. Il réfléchit longuement, testant chacune des possibilités qui s'offraient à lui. Fuir ? Non, pas maintenant, ce n'était pas le moment, il y avait encore un moyen de changer la donne. Attaquer ? Ce serait du suicide... Non, vraiment, la seule chose à faire c'était d'attendre qu'une opportunité surgisse d'un coup, comme ça, pouf.

C'est à ce moment précis qu'un petit cylindre métallique roula non loin de lui. Nul doute que ce fut une grenade, mais encore fallait-il savoir de quel type de grenade il s agissait et Léonard ne voulait pas vraiment attendre d'être mort pour l'apprendre. Il prit son revolver, visa et tira. Le grenade s'envola légèrement et alla se planter dans le sol à quelques mètres de là, suffisamment loin pour que Léonard soit à l'abri de l'éventuel détonation. On entendit un BIP et une fumée dense et jaunâtre commença à se répandre dans la zone, il ne fallait pas être énormément intelligent pour comprendre que finalement, ce n'était qu'une simple fumigène. Léonard souffla, un peu rassuré, et, alors que la fumée l'englobait petit à petit, il se releva et profita de l'aveuglement commun pour recharger son revolver et tirer dans tout les coins.

Bien sûr il ne voyait rien, seul quelques ombres ici et là, mais il tirait quand même. Avec un peu de chance il toucherait quelqu'un. Malheureusement la chance, Léonard ne connaît pas et toutes ses balles furent avalées par la fumée. Il ne pouvait rien faire, il se sentait impuissant... Il se remit à couvert derrière le fourgon qui avait été retourné et fracassé. Il y avait des morceaux de métaux un peu partout et Léonard faillit bien s’empala sur l'un d'entre eux. Il n'y avait plus de coup de feu, ou vraiment peu, trop peu pour penser que la majorité de ses camarades était encore en vie. Il regarda son chargeur, il ne lui restait qu'une seule et unique balle, il fallait l'utiliser judicieusement.

Dans le chaos de la bataille, Léonard était serein, il savait maintenant que lui et ses camarades n'étaient plus beaucoup, peut-être deux ou trois. Il restait toujours au même endroit, ne voulant pas avancer, ne voulant pas attaquer, attendant un espoir de survie pour lui et ses compagnons. Et cet espoir s'est incarné en un homme, un homme dans la vingtaine qui s'était aventuré un peu trop dans la bataille et qui se prit une balle dans la jambe avant de s'effondrer à terre, non loin de Léonard. Il usa son contrôle de l'air pour dégager la fumée de la zone et ainsi laisser entrevoir une sortie à Léonard. Ce dernier se leva, rangea son revolver, et prit tira l'homme en dehors du combat. Les bruits s’atténuaient à chaque pas qu'il faisait et le calme repris finalement son règne à quelques mètres de là.

Il coupa un morceau de tunique de l'homme afin de l'attacher à un pic de pierre, et il resta un instant debout à côté de lui.

- Bon, on va attendre que cette putain de fumée disparaisse et je vais récupérer l'Artefact.

Il braqua son revolver sur la tête de l'Infecté.

- Voyons voir comment tes copains vont s'en sortir.

L'atmosphère de la bataille devenait lourde et pesante, les tirs causaient un tumulte incessant. Tarken était allongé, il ne voyait pas grand chose, il observait juste la bouillasse sous les chaussures des hommes courrants pour échaper au balles et les corps de ceux qui avaient déjà perdus leure triste vie. Le balle dans la jambe faisais moins mal a Tarken, il avait le sentiment de pouvoir s'en relever. Malheureusement une force le tira hors de cette zone malgré lui, c'était l'homme avec qui il avait croisé le regard précédemment. L'homme de quarante ans, un air menaçant l'attacha avec sa tunique a un pic, en plus de ça Tarken avait son revolver pointé en plein dans sa face et l'homme allait tirer si Tarken aurais fais un geste brusque

- Voyons voir comment tes copains vont s'en sortir.

Tarken décida de coopérer pour sauver sa peau, et en même temps récupérer son energie, il observa son ami Thirz sombattant deux hommes, mais la fumée ne se dissiapait pas et Tarken ne voyait presque rien, Le fourgon était non loin et l'artefact était toujours dedans.Tarken ne pouvait cependant rien faire seul, il ne pouvait pas atteindre son épée qui était a quelques mètres, il ne pouvait bouger les mains pour attraper son fuseur, risque de finir la tête éclatée. Toujours attaché, Tarken attendait une erreur de la part du vieux au revolver, l'homme sentait le whisky, ce ne devais pas être un mauvais gars puisqu'il partageait le goût de la boisson avec Tarken. La proximité de l'artefact donnait à Tarken une capacité de maitrise de l'air accrue, il pouvait donner la forme a l'air qu'il souhaite, un idée lui venu il allait reprendre le dessus sur le vieux. Il concentra sa force restante, L'homme a la quarantaine regardais toujours autour de lui, mais restait toujours l'arme braqué sur la pauvre tête de Tarken. Soudain, une explosion surgit de derrière le vieux, et il fit l'erreur de se retourner, Tarken réussi a créer une lame d'air qu'il pointa vers le vieux.

Bon maintenant tu vas me libérer ou tu vas finir troué comme le mec d'à côté !

Tarken déchira sa tunique, il avait maintenant une sorte de cape déchirée qui faisais classe, Tarken sourit au vieux et parti en ramassant son épée , il se dirigea vers le fourgon lorsqu'une seconde explosion surgit non loin de Tarken et le projeta a quelques mètres. La fumée se dissipait autour de lui lorsque devant Tarken se tandait Kei bléssé menacé par deux hommes, Takrne chargea le premier et pointa son fuseur sur le deuxième. Après un "bye bye" , il tira et la tête du deuxième homme partit a la renverse. Il se tendit vers Kei, l'aida a se relever. Ce balafré d'ami avait le chic pour se mettre dans ses situations dangereuses, les deux hommes se dirigèrent vers le fourgon. L'artefact était a porté de main. Un bruit de balle se fit sentir près de Tarken....

Le pistolet d'un des survivants avais touché le fourgon grace à la déviation générée par Tarken, il n'en pouvait plus, il prit son fuseur et conseilla à Kei de continuer sans lui, qu'il le couvrirait. Tarken observait la scène, des corps surplombait la zone, comment une simple babiole avait elle pu causer une si grande perte, la guerre et la bombe D n'avais don rien appris aux hommes. Tarken souffrait, et il commençait a ne plus voir grand chose, il ne lui restait quasiment plus d'energie, il tomba et lâcha son fuseur. Soudain se dressa une silhouette devant lui, qui était-ce ? Le vieux de tout a l'heure ? Un de ses alliés ? ou encore Thirz revenu ? Tarken ne voyait plus assez pour le savoir, sa marque venait de prendre de l'ampleur, elle recouvrait à présent la moité de son visage....

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La bataille prend fin petit à petit, les cadavres gisent sur le sol couvert de sang. Le fumigène est enfin fini laissant découvrir le peu d'hommes encore en vie et la carcasse défoncée du fourgon. Alors que chacun reprend lentement des forces pensant que tout est fini, l’Artéfact commence à briller plus intensément. Vous savez très bien que c'est jamais très bon quand une chose pareil se produit et alors que l'Artéfact émet des éclaires bleuâtres, vous entendez des bruits de pas rapides, très rapides. Vous commencez lentement à vous rendre compte du nouveau problème : L'Artéfact ajouté à l'odeur du sang doit forcément attiré les monstres alentours.

Adweiv, Kei et Tarken s'avancent vers le fourgon en tentant de trouver une issu et une solution à ce problème. Les monstres s'avance de plus en plus et encercle l'équipe. Quant à Léonard qui était situé à quelques pas de là s'est vu obligé, par les monstres, de rejoindre ses ennemis près du fourgon.

Les monstres commencent alors à bouger en cercle tout autour de vous, certains tentent de toucher l'Artéfact mais se font immédiatement tuer par celui ci dans un éclair bleu. La même idée vous traversez alors l'esprit à tous, vous devez protéger l'objet le plus longtemps possible afin de temporiser le combat dans l'espoir qu'il tue la totalité des monstres...

Que faites vous ?

Le combat avait tout d'un coup éclaté. En un instant, des flèches, des tirs se propageaient dans les airs, et les combattants les plus braves allaient se battre au corps à corps, directement autour de la caravane, parmi les survivants. Adweiv n'avait même pas eu le temps de réaliser qu'il était à présent seul à ne pas être à présent au corps à corps. Encore tout abasourdi par sa capacité à soulever des rochers de cette taille, il décida enfin de rentrer dans le combat. Il saisit un rocher et le lança dans le tas. Il percuta un homme qui tomba à terre aussi tôt. Heureusement pour lui, il n'était pas écrasé par ce rocher de plusieurs tonnes mais seulement assommé. Cette technique semblait bien marcher. Une fois le rocher suivant saisi, il reçut une balle, mais sur le rocher, qui se cassa immédiatement en trois parties. Ces armes à feu étaient décidément très puissantes. C'était sa vie ou celle des autres apparemment. Rocher sur rocher, il abîma considérablement la caravane, ainsi qu'il mît à terre d'autres hommes.

Adweiv entra alors dans le combat, au sein du nuage de fumée qui était maintenant présent depuis plusieurs bonnes minutes, dont l'origine lui était inconnue. A peine entré dans le brouillard, il reçut une décharge électrique puissante venue d'un survivant qui se trouvait sur son côté droit. Le bras droit, foyer de l'impact, était paralysé par des crampes présentent à chaque muscle. Tordu d'une douleur intense, il saisit de la main gauche son pic de fer et le planta bestialement dans le corps de son adversaire. Il remua la lame avant de la replanter plusieurs fois dans diverses parties du corps. Le cadavre s'écroula sur Adweiv, qui s'écroula alors lui même à terre. Il était tordu de douleur. Il plaqua rapidement son bras sur le sol et pivota le torse afin de faire passer les crampes, ce qui fonctionna à merveilles. Il se releva alors, encore inapte de s'appuyer sur sa main droite, dont il ne s'était pas étiré les muscles. Pas le temps. L'artéfact était là, une lumière en émanait à travers le brouillard. C'était l'occasion rêvée. Une terrible nausée lui monta alors à la tête, à cause du coup de jus sans doute. Il vomit alors tout ce qu'il avait sur l'estomac et retomba à terre.

*Quelle merde... Déjà à terre pour un simple coup de jus... Reprend-toi !*

Le mal commençait enfin à s’atténuer. Adweiv se releva une bonne fois pour toute, saisit sa lame tombée à terre, pleine se sang et de poussière, et la rattacha à son pantalon. Tout son corps était imbibé de sang, de sang humain. Il réalisa alors que c'était la première fois qu'il avait tué un humain. Saisit d'un dégoût profond, il se redirigea alors vers la caravane afin de ne pas y penser. Alors que les tirs devenaient rares, que l'agitation se calmait et que le brouillard se dissipait, Adweiv vit un de ses compagnon à terre, s'en approcha et se mit à genoux devant lui.

"Eh bin mon gars, t'en en mauvais état..."

Il fit pousser une petite pousse d'Helichrysum stoechas (aussi appelés "immortelle"), saisit les deux fleurs présentes et les étala sur le corps blessé de cet infecté. Il avait du mal à rester conscient apparemment. Mais avec ces plantes, qui étaient bénéfiques contre les hématomes et les blessures, allaient -normalement- le remettre sur pied d'une minute à l'autre.

"Voilà. Je vais essayer de m'approcher de l'artéfact. Dès que tu peux, relève toi, j'imagine qu'on a pas fini avec cette histoire..."

À nouveau sur pied, Adweiv se rapprocha donc encore de l'artéfact. Cet objet se mit soudainement à emmètre un son strident et la lumière qu'il envoyait redoubla d'intensité. Des éclairs se mirent à éclater tout autour de la sphère. Encore de l'électricité. Adweiv en avait eu sa dose pour la journée. Plus inquiétant encore, on commençait à entendre des bruits de pas. Des pas très lourds, nombreux. Adweiv se retourna et vit ce qui les attendait : une horde d'une dizaine de monstres environ s'abattaient sur eux. Et ils venaient de tous les côtés. Il courut jusqu'à son compagnon, resté à terre, et le tira jusqu'à la caravane, alors qu'un autre infecté les rejoignit. Trois personnes. C'est donc tout ce qu'il restait de ce grand champ de bataille ?

"Allez petit, lève-toi, va falloir se battre. Tu risque d'y passer si tu reste comme ça."

Adweiv saisit alors le bras de Tarken, le passa sur ses épaules et l'aida à se relever. Les monstres se rapprochaient à grande vitesse, ils fendraient sur eux d'une minute à l'autre.

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Compte tenu de l'absence de réponse prolongée de notre ami Thirz Kei et afin de garder une continuité dans le scénario, j'ai décidé de clore le rp avec un post final avec ce qui aurait dû se passer si tout le monde avait joué comme il fallait.

Rp final :

Les monstres continuaient à tourner frénétiquement autour de nos quatre héros, et l'artefact commençait à devenir de plus en plus instable. Les éclairs émanant de lui frappaient des monstres qui mourraient instantanément. Chacun des survivants au combat, pensaient que leurs fins étaient arrivées, et c'est à ce moment là que les monstres s’arrêtèrent de bouger. Ils se figèrent d'un seul coup, et l'on pouvait à peine distinguer leurs mouvements de respiration. L'atmosphère était tendue et même l'artefact semblait s'être stoppé.

Un cri se fit entendre, un cri aigu et perçant, un cri qui "réveilla" la masse de monstre qui sautèrent tous ensemble sur l'artefact. Les quatre héros furent alors ensevelis sous le tas de salamandre, tentant de survivre tant qu'ils pouvaient. L'énergie de l'artefact augmentait, et chacun des hommes pouvaient la sentir submerger leurs corps. Elle gagnait en intensité à chaque instant jusqu'à atteindre son maximum qui déclencha une énorme implosion, une sorte de mini-trou noir aspirant la totalité des salamandre avant d'exploser et de disparaître dans un éclat de lumière orange laissant les quatre compères dispersés tout autour du fourgon dans un état proche de la mort...

Adweiv Thealath

Expérience : 16

Tarken Valemius

Expérience : 17

Thirz Kei

Expérience : 14

Léonard Copper

Expérience : 17